« Bon sang ! J’avais déjà quarante-deux ans, cinq mioches, dont deux qui me collaient encore aux basques, et j’avais encore rien fait de ma vie : je n’attendais plus que mes factures pour me rappeler mon existence : « tiens, le fisc pense à toi, EDF aussi… » »
Bon, pas de mystère, je suis fan de Monsieur Stephen King…. Je revendique haut et fort, n’en déplaisent à certains, que c’est un grand et vrai écrivain à part entière. En plus, l’homme est très attachant. Quand j’ai vu la critique de ce livre par Fred (Lord Arsenik ou Amnezik666 si vous préférez !) je n’ai pas pu résister… en plus le titre est tellement chouette ! Fred était assez enthousiaste donc j’en attendais beaucoup, sans doute trop… Le début démarre sur les chapeaux de roues et est très original et rigolo. J’ai accroché. Par contre, assez rapidement je me suis lassée. L’impression que l’auteure tourne un petit peu en rond. Et bien que ce soit agréable à lire ce n’est pas de la grande littérature. Et puis dans la dernière partie du roman, cela prend une autre tournure. Différentes histoires à tiroirs, qui prennent vraiment un autre niveau… assez fou, décapant… étrange aussi. Bref j’ai plutôt bien aimé la 2e partie de ce polar déjanté. Et j’ai été assez surprise par la fin assez inattendue. Sympa. Et bien sûr c’est un hymne au grand King du Maine, en sa ville de Bangor. Tout rappelle l’homme, l’écrivain, ses œuvres, son univers. A découvrir par curiosité. De plus, pas long, il se lit rapidement. Et comme de bien entendu, cette lecture m’a donné envie de lire un Stephen King…. Lol oui je sais, je n’ai pas besoin de ça !
« Je longeai la rue, et m’arrêtai enfin devant LA maison. Reconnaissable entre toutes, elle était rose saumon, assez imposante, mais surtout il y avait cette statue de Batman devant l’entrée. Batman… Dracula aurait mieux joué le rôle de l’hôte de ces lieux ».
Résumé éditeur : Un hommage au Grand Stephen King. Ce livre raconte d’histoire d’Irma, qui veut prendre la place du calife… En manque d’inspiration, elle pense que Stephen King est la cause de tous ses malheurs. Oserez-vous la suivre jusqu’à Bangor ? Attention, n’allez pas mourir… de rire.
« Tracy me demanda ce que j’aimais chez King. Je lui expliquais qu’il m’apportait non pas la vie, mais une espèce de pouvoir surnaturel, celui d’avoir des émotions réelles en lisant des situations fictives. Elle avait dû mal à capter comment on pouvait à ce point se plonger dans un livre, de King ou de quiconque. Pour elle, la vie n’avait aucun concurrent sérieux pour ce qui était de ressentir les choses. — Tu comprends, il suffit de regarder autour de soi, de lire le journal, de regarder la télé, ou simplement de se souvenir du passé pour ressentir des choses vraies. La vie, les sentiments, c’est ça, c’est pas les histoires débiles d’un écrivain psychopathe ! — Mais non, mais pour quelqu’un comme moi qui n’a rien vécu d’exceptionnel, ça représente beaucoup, une source de réflexion, un concentré d’émotions pures ! Je commence un livre en me régalant d’avance de tout ce que je vais lire. Parce que je sais d’avance ce que je vais trouver chez King. — Quelles émotions ? La peur ? La frayeur ? On a vraiment besoin de ça pour se sentir vivant ? — De ça et du reste, évidemment ! N’oublions pas l’humour. Mais tu as raison, lire ce genre de livre, ce n’est rien d’autre que faire un tour de grand huit, se sentir mourir pendant quinze mètres de chute à pic, et remonter en rigolant. Des sensations presque physiques. C’est devenu une drogue. Je ne peux pas me passer de ce genre d’histoires ».
Résumé auteure : Irma en a marre des écrivains à succès… Elle aussi elle veut gagner du fric ! Elle va imaginer un plan pour se débarrasser de Stephen King… Et petit à petit, elle va sombrer dans la folie. Une mise en abyme qui vous fera rire, car c’est une histoire comique avant tout… !
« Quand j’en eus terminé avec toute la filmographie, j’avais noté que les livres étaient quand même bien plus aboutis que leurs homonymes pelliculaires. On ne retrouvait pas tout le côté psychologique des personnages, leurs pensées et leurs rêves, ce qui semble normal : un film si bien réalisé soit-il ne sera jamais que l’ersatz du roman dont il s’inspire ».
Lien vers la fiche du livre sur Babélio http://www.babelio.com/livres/Bury-La-Femme-qui-tua-Stephen-King/663017
« Je me suis fait virer du journal. Trop mauvaise réputation. J’ai perdu mes clients écrivains. Je vais bosser pour le Carrie’s, comme serveur. Intéressant comme boulot. On y croise de jolis cœurs palpitants à écraser de ses mains nues. Discrètement bien sûr. Je hais ce fan-club ».
« Dans le silence spatial, le vaisseau principal s’immobilisa, assez loin de la Terre pour ne pas être repéré. Le Petit Vaisseau continua sa route, ayant baissé considérablement sa vitesse. Les quarante zuglipans qui accompagnaient le Capitaine avaient été sélectionnés et choisis il y a bien longtemps. Tous connaissaient par cœur la mission, chaque geste à effectuer, chaque mot à dire. En un rien de temps, ils se retrouvèrent au dessus de la Grande Plaine du Grand Continent. Le Petit Vaisseau franchit l’atmosphère terrestre et s’immobilisa au dessus de Bangor, Maine, Usa. Stephen King regarda l’OVNI descendre vers lui ».
coucou ma Véro .. on reste tranquille aujourd’hui .. le soleil va frapper fort .. mais sans nous tuer j’espère ! oups ! biz ma belle
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oui il a fait bien chaud, mais on a eu pire lol en Alsace, ça fait souvent très chaud !! gros bisous ma Pascalou
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